Audition du Centre national d’études spatiales (CNES) - Jean-Luc LAGLEIZE
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Audition du Centre national d’études spatiales (CNES)

Le mardi 03 juillet 2018, dans le cadre du groupe d’études « Secteur aéronautique et spatial » à l’Assemblée nationale que je co-préside avec mon collègue Pierre Cabaré, député de la Haute-Garonne, nous avons eu l’honneur d’auditionner Jean-Yves LE GALL, Président du Centre national d’études spatiales (CNES), accompagné de Pierre TREFOURET, son Directeur de cabinet.

 

 

Le CNES, organisme qui emploie 2500 personnes pour un budget annuel de 2 milliards d’euros, a débuté en saluant le grand succès du Toulouse Space Show cette année et le succès de la politique spatiale française et européenne, lié à quatre raisons principales qui font que l’Europe spatiale monte en puissance et que Toulouse s’affirme comme la capitale européenne voire mondiale de l’espace :

  • Volonté politique très forte au niveau national et au niveau européen.
  • Universités et laboratoires de recherche de rang mondial, avec notamment l’Institut supérieur de l’aéronautique et de l’espace (ISAE-SUPAERO) et l’Université Toulouse-III-Paul-Sabatier.
  • Des agences nationales et européenne compétentes.
  • Un tissu industriel important, avec des acteurs internationaux (Thales et Airbus) mais aussi de nombreuses petites et moyennes entreprises (PME), entreprises de taille intermédiaire (ETI) et startups, notamment en régions parisienne et toulousaine.

 

Ensuite, le CNES a poursuivi les échanges en exposant ses secteurs clés, les défis auxquels il fait face, ainsi que ses priorités pour les années à venir.

 

Secteurs clés :

  • Lanceurs : secteur à succès mais qui voit une concurrence émerger avec SpaceX. Pour cela, Ariane 6 développe les programmes Prometheus et Callisto.
  • Satellites : secteur qui évolue rapidement et dans lequel la France est à la pointe.
  • Applications : basées sur des données ouvertes, notamment des programmes Galileo et Copernicus.

 

Défis :

  • Multiplicité des acteurs et des agences spatiales
  • Numérique
  • Miniaturisation, qui fait baisser le poids des satellites et donc le coût des lancements
  • Coopération internationale dans un monde globalisé

 

Priorités :

  • Climat, suite à la COP21 et au One Planet Summit, avec le lancement de l’Observatoire spatial du climat
  • Innovation
  • Exploration, qui est un booster pour le secteur spatial, comme l’a démontré Thomas PESQUET

 

3 juillet 2018
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